catherine d’amours est designer transdisciplinaire et professeure à l’École de design de l’UQAM (Université du Québec à Montréal) où elle s’implique dans l’axe Design social et pratiques responsables en design graphique et expériences visuelles. catherine d’amours poursuit des recherches dans le cadre d’études doctorales dans lesquelles elle s’intéresse au design relationnel comme outil pour répondre aux défis environnementaux et sociaux avec un intérêt particulier pour la réconciliation de la technologie et du vivant. Elle s’est jointe au laboratoire de recherche et de création TAO (Typographie et approches obliques) en 2025.
Son travail, qui croise les pratiques de la typographie, de l’installation, de l’illustration et de l’écriture, cultive un discours sensible sur la co-présence avec l’autre-qu’humain et se déploie sur le temps long. Ses gestes de foraging d’argile (pratique de cueillette non-extractiviste) s’inscrivent dans une rencontre du territoire qu’elle habite et qu’elle considère comme un partenaire dans la création. Des stratégies comme la marche et l’enregistrement sonore in situ rendent perceptibles les manifestations sensibles du Vivant.
catherine d’amours is a transdisciplinary designer and professor at the École de design, UQAM (Université du Québec à Montréal), where she contributes to the research cluster on Social design and responsible practices in graphic design and visual experiences. catherine d’amours is pursuing doctoral research that explores design as a tool to address environmental and social challenges, with a particular interest in reconciling technology and the living world through a posthumanist perspective. She joined the research and creation lab TAO (Typographie et approches obliques) in 2025.
Her work, moving between typography, installation, illustration, and writing, cultivates a finely tuned sensibility toward co-presence with the other-than-human and unfolds over long durations. Her clay foraging practices (a non-extractivist form of gathering) emerge from an encounter with the territory she inhabits, which she approaches as an active partner in creation. Through strategies such as walking and in-situ sound recording, she invites the subtle expressions of the Living world to become perceptible.